« Louer mon équipement; j’y ai vu du potentiel »

Chez Gearbooker, des créateurs se rencontrent et souhaitent louer leur équipement de manière simple et sécuriser. De cette façon, vous trouverez rapidement du matériel pour un travail spécifique ou simplement pour l’essayer avant de l’acheter dans votre propre région.

Depuis le lancement de Gearbooker, Tuur est actif en tant que propriétaire et locataire sur la plate-forme. Sur son profil, vous pouvez choisir parmi une très large gamme de matériel photo et vidéo qu’il a mis en location. 

Nous l’avons rencontré et nous avons pu discuter avec lui. Qui est-il ? Que fait-il dans la vie et pourquoi s’est-il inscrit sur Gearbooker?

Un créateur occupé

Tuur est actuellement étudiant en dernière année en « Conception audiovisuelle » à Gand.  Il décrit sa formation comme assez généraliste. Dans ses études, Tuur se concentre sur la vidéo et la photo de « documentaires ».

«J’aime beaucoup mes études, c’est une agréable combinaison de théorie et de pratique. Et j’ai remarqué que je peux, grâce à mon école, me construire un réseau de manière très agréable », déclare Tuur. « La raison pour laquelle j’ai choisi ces études est que je travaillais depuis quelques années déjà sur des projets créatifs et artistiques ainsi que sur des documentaires. 

Mes études me prennent une bonne partie de ma semaine, en moyenne, environ 36 heures par semaine. »

« Les gains que je génère sur Gearbooker sont excellents, mais la possibilité de se construire un réseau avec des créateurs autour de moi est, pour moi, encore plus précieux. »

Obtenir de l’expérience

«J’ai également des projets en dehors de l’école. Récemment, j’ai participé à plusieurs tournages vidéos. J’ai tourné des vidéos promotionnelles et filmées des évènements avec une diffusion en direct. Nous filmons ce genre d’évènement avec une configuration multicam, pour pouvoir enregistrer et directement diffuser les images. Je participe à ce genre d’évènement comme indépendant, mais j’ai dû utiliser mon réseau pour y accéder les premières fois. Maintenant, de plus en plus de clients savent qui je suis et où me trouver. »

«J’ai également un emploi à temps partiel en tant que créateur de contenu dans une société de logiciels de logistique. Mon rôle est axé sur le partage créatif du message de l’entreprise au monde extérieur. Cela peut parfois se faire par le biais d’une vidéo promotionnelle ou, dans d’autres cas, de témoignages de clients conçus de manière créative. Je suis également impliqué dans le contenu du site. Dans l’ensemble, c’est un travail très intéressant pour moi qui m’aidera certainement dans ma future carrière. »

On est arrivé très vite à lui poser la question : Comment fais-tu tout ça ? Comment arrives-tu à gérer autant de responsabilités en même temps ? « C’est parfois difficile oui, mais, pour moi, ça fait une grosse différence d’avoir des travaux en tant qu’indépendant le week-end et le soir.»

« La plupart de mes camarades de classe ne sont pas aussi actifs, je fais partie d’une minorité », dit Turr en rigolant. « Bien que de nombreux étudiants sont conscients qu’il est important de se construire une réputation assez tôt. Il reste quand même difficile pour beaucoup d’acquérir de l’expérience professionnelle. »

Élections

Aux approches des élections, Tuur s’est occupé de réaliser des vidéos promotionnelles pour les politiciens de différents partis politiques. «C’est précisément pendant ce genre de projet que j’ai remarqué que: la vidéo est l’avenir! S’il n’y avait pas la vidéo, le message voulu ne sera pas aussi bien transmis », dit Tuur.

«Je m’occupe de tout ici, la direction, la production, le tournage et finalement le montage. Je dois parfois faire une interview, suivre un politicien qui assiste à des évènements politiques, ou encore filmer le politicien dans un certain contexte. Le résultat est souvent une vidéo courte et rapidement montée. »

Tuur explique qu’un chef de parti propose souvent une sorte de «  scénario » et certains lieux de tournage. « En tant que réalisateur et producteur, j’essaie de donner des conseils à ce sujet et orienter les choses pour un meilleur résultat. »

« Le Canon C100 est mon outil de travail idéal pour faire du “run and gun”».

Le Canon C100, le « cheval de course » de Tuur

À propos de son matériel

« J’utilise principalement la marque Canon », a déclaré Tuur. «J’ai commencé avec un reflex numérique de chez Nikon, puis je suis passé au Canon 70D et au 80D. Lorsque vous commencez progressivement à élargir le nombre d’objectifs d’une marque, vous restez fidèle à cette même marque. J’ai récemment filmé avec le Canon C100, une caméra professionnelle. Puis j’ai utilisé une Blackmagic équipée d’un Metabones speedbooster, que je trouve plus approprié pour les tournages en studio et en intérieur, le C100 est idéal pour les tournages « run and gun ». Je l’utilise avec une rig d’épaule que j’ai entièrement adaptée à mes souhaits et équipée d’un Zacuto EVF. »

Drone et législation

«Je travaille occasionnellement avec un drone pour les prises de vues aériennes. Lorsque la législation était encore flexible dans mon pays, j’utilisais beaucoup mon drone, en particulier pour la photographie: photos aériennes de maisons, travaux pour des journaux locaux, etc.

Avant le changement de législation, j’avais pu filmer une course  de cyclistes, c’était une belle expérience. J’utilisais mon drone pour filmer des images aériennes et donc alterner avec les plans au sol. Maintenant, comme la législation sur les drones a changé, ça rend la tâche beaucoup plus difficile. J’envisage quand même d’acheter un Mavic 2 Pro, puis d’obtenir des autorisations, de sorte que je puisse filmer. Le souci c’est que c’est toujours difficile et coûteux d’obtenir ces autorisations. Et je dois les obtenir pour chaque projet. » 

Le drone Mavic 2 Pro

Workflow

«Je choisis généralement le format en fonction du type de projet. Je travaille parfois en ProRes, mais le plus souvent en C-Log. Le plus important, c’est que je puisse calibrer rapidement les couleurs et que je puisse exporter rapidement mon travail. »

« Je sais où je peux aller si j’ai aussi besoin d’une caméra ou d’un équipement spécial. Je sais que je peux faire confiance aux utilisateurs sur Gearbooker ».

Avantages de Gearbooker

Nous avons demandé à Tuur comment il a connu Gearbooker et ce qu’il en pense. «J’ai découvert Gearbooker via les réseaux sociaux. Dans un groupe de cinéastes sur Facebook. Lors de ma première expérience: le site semblait fiable, élégant et convivial. Mais surtout, ce qui m’a plu c’est la gamme étendue d’équipement. J’y ai vu du potentiel. »

«Bien entendu, les gains générés par Gearbooker lorsque l’on met notre équipement en location sont aussi excellents. Mais ce que je trouve le plus important, c’est le fait que vous avez la possibilité de vous construire un réseau avec d’autres créateurs autour de chez vous. J’ai par exemple gardé contact avec mes premiers locataires. Ça n’a pas encore conduit à de nouvelles collaborations pour le moment, mais au moins, je sais où je peux aller si j’ai aussi besoin d’une caméra ou d’un équipement spécial. Je sais que je peux faire confiance aux utilisateurs sur Gearbooker. »

Facile à tester

«Jusqu’à présent, j’ai principalement loué mes objectifs, je remarque qu’il existe un grand marché pour moi sur le site. Les créateurs qui ont besoin d’un deuxième objectif ou qui veulent simplement essayer avant de l’acheter peuvent trouver leur bonheur. Encore récemment, mon enregistreur de terrain Ninja 2 a été loué par quelqu’un qui envisage d’en acheter un lui-même. Et grâce à moi et à la plate-forme, il peut le tester très facilement. »

Curieux de savoir combien vous pouvez gagner avec la location ?

Utilisez l’outil de calcul de Gearbooker pour savoir combien vous pourriez gagner avec votre équipement. 

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